Les histoires insolites

Un chat fait 800 km pour retrouver ses maîtres !






La chatte âgée de 3 ans a parcouru 800 km en 13 mois entre Bordeaux et la Meuse pour retrouver sa famille d'adoption.

- le 21/04/2007 - 13h22






Disparue en mars 2006 dans le sud-ouest de la France à la veille d'un déménagement, "Mimine", une chatte de 3 ans, a été revue mardi à Tréveray, dans la Meuse, par son ancien maître.... 13 mois plus tard, à 800 km de l'endroit où elle avait disparu.

"Sa robe est la même. Son comportement est le même. Et nos enfants (de 6 et 8 ans, ndlr) l'ont reconnue", a déclaré sa propriétaire. "Aucune autre chatte ne serait arrivée en courant pour se frotter à nous et réclamer des caresses alors qu'elle était pleine", a-t-elle estimé, avant d'avancer un autre argument "décisif": "elle ne mangeait pas de croquettes, elle n'en mange toujours pas".

L'animal, qui ne porte aucun tatouage, n'a pas trop souffert de son incroyable périple, hormis quelques tiques attrapées et ses coussinets usés. Un vétérinaire a déclaré qu'il n'y avait "aucune explication scientifique. Il est très curieux que le chat ait voyagé aussi loin dans un endroit où il n'est jamais allé". Mais le Dr Marie-Pierre François, vétérinaire spécialiste en médecine et chirurgie du chat, a reconnu que ce n'était pas totalement impossible. "Les chats peuvent utiliser leur 6e sens. La nature nous réserve parfois de belles surprises"....

D'après agence

je l'ai entendu hier sur RTL

Ces animaux m'étonneront toujours!

Nous avons vécu la même histoire lorsque j'étais enfant.

Bous avions un chien que mes parents avait appelé "boogie", comme la danse qu'ils avaient connu le boogie woogie . Un jour mon chien disparu

Plusieurs mois passent ... un matin ma mère entend des gemissements à la porte... elle va vite ouvrir et notre bouki était là en piteux état mais là, les pattes en sang, malade...

Mes parents n'ont jamais su s'il avait été volé et par qui ? toujours est -il qu'il nous a cherché et a retrouvé le chemin de la maison.

Incroyable!

Comment a-t-il fait pour survivre pendant plusieurs mois? Il a probablement été recueilli?

Les animaux ont un 6ème sens, j'en suis certain

pour moi, ils ont plus qu'un 6ième sens....

Ils sont tous merveilleux !!
La pluspart du temps ils tiennent peut être beaucoup plus à nous que nous tenons à eux !

C'était un chien qui "ressemblait" aux chiens de berger des pyrénées. Ma mère avait pensé qu'il était parti de force ou pas ? avec les troupeaux qui partaient en transhumance (cela ce faisait encore à pieds dans le temps) lorsque les troupeaux traversaient les villages,mais c'est une supposition...

Mais ce chien était special

Ma mère qui n'avait encore que moi comme enfant, avait l'habitude d'aller passer le week end chez ses parents à deux villages plus loin, elle prenait le bus. Aller savoir comment le chien le sentait ( je pense qu'il devait voir les preparatifs), boogie prenait le bus precedent et arrivait donc avant nous chez mon grand père qui tenait alors une boucherie et mon grand père disait:

- Ah les enfants ne vont pas tarder, boogie est là. Je vous signale également que le chauffeur était au courant et c'était une autre vie dans un autre temps.

Belles histoires Sittelle......


Il est vrai que nous ne rendons pas toujours l'amour que nous donnent les animaux....

Une découverte stupéfiante :

NEW YORK (Reuters) - Un immense troupeau d'animaux sauvages, qu'on pensait exterminé par 20 ans de guerre civile dans le sud du Soudan, a contre toute attente survécu.

Le déplacement de ces animaux pourrait constituer la plus grande migration de grands mammifères au monde.

La Société de conservation de la faune sauvage, un groupe environnemental basé à New York, a annoncé la nouvelle mardi, en se basant sur un programme d'étude aérienne ayant permis la découverte de plus de 1,2 million d'antilopes, gazelles, éléphants et d'autres animaux.

"Ce sont d'excellentes nouvelles pour le monde et pour le sud du Soudan", a annoncé Steven Sanderson, président de l'association, lors d'une conférence de presse.

Michael Fay, le scientifique qui a dirigé l'étude, a déclaré qu'il n'avait jamais vu une telle quantité de faune sauvage, "pas même en survolant les grandes migrations du Serengeti", où des centaines de milliers de gnous et de zèbres transitent entre la Tanzanie et le Kenya.

"Il pourrait s'agir de la plus grande migration d'animaux sauvages sur terre", a-t-il déclaré.

Toutefois, les animaux de cette région sont toujours en danger, les chasseurs possédant toujours des armes automatiques leur permettant d'abattre de grands groupes d'animaux, a rappelé Paul Elkan, directeur du programme du groupe pour le Sud-Soudan.

Par ailleurs, des milliers de réfugiés retournent dans la région et des sites pétroliers se trouvent dans les couloirs de migration.

Aucune étude n'avait été menée dans le sud du Soudan depuis le début des années 1980 à cause de la guerre civile qui y a fait rage pendant 20 ans, jusqu'à l'accord de paix signé en 2005. Il y a quatre ans, une autre guerre civile, distincte, s'est déclenchée au Darfour, dans l'ouest du Soudan.


Se référant à d'autres pays comme l'Angola et le Mozambique, où la guerre avait décimé hommes et animaux, les responsables de l'association avaient pensé que la faune sauvage du Sud-Soudan avait également été gravement atteinte.

Cependant, le miracle n'a pas eu lieu dans toutes les parties de cette région. Dans le parc national du Sud, à l'ouest du Nil, les effectifs de certaines espèces ont diminué de 90% depuis le début des années 1980.

"Nous n'avons vu aucun buffle dans des endroits où en 1981 on estime qu'il y en avait 60.000", a déclaré Elkan. "Et un seul groupe d'éléphants a été repéré là où environ 10.000 d'entre eux se promenaient autrefois."

Mais pour des raisons encore inexpliquées, certains troupeaux sont restés intacts, et dans certains cas, ont même grossi par rapport à leur niveau d'il y a 25 ans.

Fay a ajouté que lorsque l'avion de recherche était entré au Soudan en venant du Kenya, il avait été stupéfait.

"On aurait dit que le paysage entier bougeait avec toutes ces antilopes", s'est-il souvenu. "C'en était infesté. Ce sont des antilopes de 100 kg, le moins qu'on puisse dire est que nous en avions sous-estimé le nombre."

Voilà une bonne nouvelle!
Au moins UN troupeau qui (sur)vivait en paix, pendant que les hommes font la guerre.
Un immense troupeau sauvage, tranquille, qui poursuit sa vie pendant que les hommes abrègent la leur.

Parions que dans quelques mois, des scientifiques désintéressés vont activer leur cerveau et leurs mains pour prélever des individus et les transférer dans des "réserves" dépeuplées d'animaux, le tout sous l'égide du WWF, les pays africains de connivence, et à (très) grands coups (coûts) de dollars...

Mat a écrit:

Voilà une bonne nouvelle!
Au moins UN troupeau qui (sur)vivait en paix, pendant que les hommes font la guerre.
Un immense troupeau sauvage, tranquille, qui poursuit sa vie pendant que les hommes abrègent la leur.

Parions que dans quelques mois, des scientifiques désintéressés vont activer leur cerveau et leurs mains pour prélever des individus et les transférer dans des "réserves" dépeuplées d'animaux, le tout sous l'égide du WWF, les pays africains de connivence, et à (très) grands coups (coûts) de dollars...

Je pense que ce groupe d' animaux n' est pas laissé sans surveillance ils sont surement suivi.(Etant donné l' importance de l' événement les naturalistes de la région ne vont pas les ignorer)

Les transferts ne se font pas comme ca à l' improviste car il faut d' abord je pense regarder ou il faut mettre quoi.
La capture de tels animaux est assez grandiose aussi (installation de piquet, tendeur, on fait coulisser une bache qui se referme sur les animaux et hop direction camion qui à la "beine" ouverte.

Maintenant espérons que les naturalistes de cette région se bougent pour les protéger au maximum et surveiller l' attaque d' éventuels braconniers :s

Depuis qu'ils ont découvert le troupeau, ils doivent l'etudier et le suivre.
Mais espérons en effet qu'ils feront ce qui est necessaire...

J'espère!Il ne sont surement pas idiot!

Voilà des photos :


The biologists estimated there were 1.3 million kob, tiang, a species of antelope, and gazelle in their survey area.


A Tiang herd in the the Southern sector of Boma National Park
Photograph: Paul Elkan and J. Michael Fay/National Geographic/Wildlife Conservation Society


A herd of white-eared Kob, Boma National Park
Photograph: Paul Elkan and J. Michael Fay/National Geographic/Wildlife Conservation Society


A herd of elephants in the Sudd wetlands
Photograph: Paul Elkan and J. Michael Fay/National Geographic/Wildlife Conservation Society

La première est magnifique....

Superbbbbbbbbbeeeeeeee, j'adore les elephants

Ces photos aériennes me coupent le souffle tant elles sont belles.


Revers de la médaille: ces animaux qui vivaient en paix, en harmonie, tranquilles au milieu de la nature bien loin de l'homme (souvenez-vous de l'article) se retrouvent maintenant avec le bruit des moteurs d'avions au dessus de leur tête... ça doit leur plaire tiens!

J'adore aussi voir ces photos de tous ces animaux, qui arrivent à survivre dans ce monde que nous detruisons, pendant qu'il ya des guerres... mais comme tu dis Mat on les a dérangé

Superbes photos !

Epoustouflantes!

On devrait leur demandé d'utilisé un planeur.
Mais c'est vrai ça ne doit pas être sympa d'aller les déranger comme ça.

Sinon j'adore vraiment ces photos!
Merci beaucoup!

Article insolite du jour :

Les visiteurs d'une réserve naturelle africaine, au Kenya, ont pu assister à un spectacle étonnant lorsqu'un hippopotame est venu porter secours à un zèbre et un gnou en détresse.


Chaque année, des centaines de gnous migrent et traversent la rivière Mara, située dans une réserve naturelle du Kenya. Mais cette fois-ci, les visiteurs ont pu assister à un spectacle des plus étonnants. Alors que deux petits gnous se trouvaient en danger lors de leur traversée de la rivière, ils ont pu observer un hippopotame venir à leur rencontre pour leur porter secours !

A la surprise de tous, le pachyderme a gentiment poussé l'un des jeunes gnou jusqu'à la rive afin qu'il puisse rejoindre sa mère et son troupeau. Pourtant considéré comme l'un des plus dangereux, l'animal ne s'est pourtant pas arrêté là. Apercevant un petit zèbre qui peinait à garder la tête hors de l'eau, la femelle hippopotame a de nouveau poussé celui-ci vers le rivage, le sauvant d'un destin tragique. "L'instinct maternel peut être parfois si fort qu'il dépasse les limites entre les différentes espèces", a déclaré Abdul Karim l'un des guides de la réserve. "Cela restera inoubliable"

Quelle belle histoire

C'est surprenant surtout de la part d'un hippotame.